LA DYSPHORIE DE GENRE - FAITS ET CHIFFRES

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Les cliniques de genre ignorent les études

La transition médicale n’offre aucun bénéfice en termes de bien-être mental et de suicidalité

Les cliniques spécialisées dans les questions de genre préfèrent un traitement médical, arguant du fait qu’attendre plus longtemps serait plus dangereux et dommageable, et mentionnant le suicide et le bien-être mental. Ce faisant, ils sont coupables d’ignorer des études importantes.

Sex & Marital Therapy

  • Le 2 janvier 2023, il y a eu la publication « The Myth of Reliable Research in Pediatric Gender Medicine » ,qui se concentre sur les deux études néerlandaises qui ont suscité des soins « affirmant le genre » pour les jeunes du monde entier. Les auteurs démontrent de manière convaincante qu’au lieu d’une « recherche prospective solide », la recherche néerlandaise souffre de problèmes profonds, jusque-là non reconnus. Ces problèmes vont de la conclusion erronée que la dysphorie de genre s’est résolue à la suite d’un « traitement affirmant le genre », à la déclaration des seuls résultats du scénario le plus favorable et à l’absence d’examen approprié des risques, malgré le fait qu’une proportion importante de l’échantillon traité a subi des effets indésirables.
  • L’American Journal of Psychiatry (août 2020) a publié une correction extraordinaire à une publication de l’Institut Karolinska (Bränström & Pachankis 2019), qui prétendait être la première à fournir des preuves des avantages à long terme du traitement biomédical pour la santé mentale des adultes. Après correction, il a été conclu que ni les hormones ni la chirurgie n’apportent de bénéfice en termes de santé mentale et de suicidalité à long terme. Il s’agit de la plus grande étude objective de ce type réalisée à ce jour avec des données complètes de santé des patients entièrement enregistrées.
  • Une étude finlandaise rigoureuse et approfondie (février 2024) a montré que les interventions médicales d’affirmation de genre ne réduisent pas le risque de suicide (All-cause and suicide mortalities among adolescents and young adults who contacted specialised gender identity services in Finland in 1996–2019: a register study). Pour plus d’informations : Alarming but false – The « transition or suicide » story is about politics, not evidence.
  • Une étude (Suicide by Clinic-Referred Transgender Adolescents in the United Kingdom – 18 janvier 2022) de l’une des plus grandes cliniques pédiatriques de genre au monde a estimé le taux de suicide chez les jeunes transidentifiés à 0,03 % sur une période de 10 ans , ce qui est comparable aux jeunes qui s’inscrivent pour des soins avec des problèmes psychologiques.
  • Il existe même une étude suédoise (Dhejne 2011) portant sur la population générale, qui a révélé que ceux qui ont subi un traitement de changement de sexe se sont suicidés 19 fois plus que les témoins appariés dans la population générale. Cela nous dit qu’une transition n’empêche pas le suicide.
  • Lisa Littman a mené une enquête formelle sur l’augmentation fulgurante du nombre de jeunes atteints de dysphorie de genre et a conclu à une influence évidente de la contagion sociale. Les réseaux sociaux jouent un rôle important à cet égard, tout comme l’influence des groupes militants ou des mouvements sociaux.
    L’étude de S. Diaz et J.M. Bailey, réalisée en mars 2023 et basée sur 1655 témoignages de parents, a confirmé l’hypothèse ROGD : Rapid Onset Gender Dysphoria: Parent Reports on 1655 Possible Cases. Cette publication a été soumise à des exigences de censure. Voir : Letter in Support of Dr. Kenneth Zucker and the Need to Promote Robust Scientific Debate et Why is my gender research being cancelled? – Activists are taking over prestigious journals (Unherd 26 mai 2023 – J. Michael Bailey)
  • Une étude allemande de 2024 sur les données de l’assurance maladie – Störungen der Geschlechtsidentität bei jungen Menschen in Deutschland: Häufigkeit und Trends 2013–2022 – a montré que l’incongruence de genre ne persiste pas dans la plupart des cas. Après cinq ans, seuls 36,4 % des personnes avaient encore un diagnostic confirmé, et une persistance diagnostique inférieure à 50 % a été constatée dans toutes les tranches d’âge étudiées (27,3 % pour les femmes de 15 à 19 ans et 49,7 % pour les hommes de 20 à 24 ans).
  • Cass Report - Final ReportLe 10 avril 2024, le rapport Cass a été publié, fruit d’une étude approfondie de quatre ans sur la prise en charge des mineurs en matière de genre au Royaume-Uni. Ce rapport était extrêmement négatif quant à la manière dont les soins de santé aux enfants présentant une confusion de genre étaient guidés par l’activisme. Le rapport s’appuyait sur sept revues systématiques des données probantes, la référence en matière de médecine factuelle. L’une de ces revues, cohérente avec les autres, qualifiait de « remarquablement faibles » les preuves en faveur des « traitements d’affirmation de genre » chez les enfants et les adolescents. Le rapport soulignait également que les problèmes ne se limitaient pas aux 18 ans, mais que le groupe des jeunes adultes de 18 à 25 ans était confronté à de nombreuses préoccupations similaires. À l’instar de l’UMC Amsterdam, l’UZ Gent et le ZNA Antwerpen ont également rejeté les critiques du rapport Cass. Peter Vasterman et Jan Kuitenbrouwer ont qualifié la réaction de l’UMC Amsterdam de stupéfiante dans le journal NRC : « Dutch protocol in transgenderzorg is onhoudbaar »