Dragon Bleu TV
Océan Invisible Productions présente
MAUVAIS GENRE – UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Un film de Sophie Robert

Les personnes consultant pour un trouble de l’identité de genre ont augmenté de +5000% en quelques années. Cette vague affecte une majorité d’adolescents (entre 15 et 20 ans) convaincus par des adultes que pour trouver sa véritable identité il faut mutiler son corps, afin de le conformer aux stéréotypes de l’autre sexe.

Mon genreDepuis 4 ans l’idéologie du genre nous est assénée partout à coups de documentaires, magazines TV, cinéma, séries, et d’innombrables vidéos sur les réseaux sociaux.

Cette propagande quotidienne diffuse toujours le même message, toujours dans le même sens, sans aucun regard critique. Sous couvert de défense de la diversité de genre, le transactivisme banalise les mutilations sexuelles et la stérilisation des jeunes en souffrance psychiatrique. Alors que toutes les études attestent que 75 à 90% des problèmes de dysphorie de genre disparaissent d’eux-mêmes à l’entrée dans l’âge adulte.

La propagande transactiviste frappe désormais une majorité de filles adolescentes et cible des enfants de plus en plus jeunes.

Or 35% des jeunes trans sont autistes et/ou TDAH. La plupart ont des antécédents psychiatriques liées à un passé de violences sexuelles, ou diverses pathologies, sachant que 80% des troubles psychiatriques se déclarent entre 15 et 20 ans.

70% de ces jeunes trans sont de futurs homosexuels.

Ils ont été convaincus par cette idéologie réactionnaire que s’ils ne sont pas conformes aux stéréotypes de genre, c’est qu’ils sont nées dans un mauvais corps. Il faut donc conformer son corps à l’autre sexe à coups d’hormones de synthèse et de chirurgies. Sous les paillettes de la propagande transactiviste, la stérilisation des autistes, des homosexuels et la mutilation sexuelle des filles deviennent inclusives, progressistes et trendy !

MastectomieLa plupart des gens constatent ce délire consternés et impuissants, muselés par le harcèlement en ligne, et une propagande victimaire extrêmement agressive. Les personnes critiques sont taxées d’être d’extrême droite, nazis, réactionnaires, ou « transphobes » alors que la majorité de ces critiques émanent d’universitaires, de journalistes et féministes de gauche et de citoyens ordinaires.

Il y a actuellement un climat de terrorisme intellectuel qui censure tout débat public pour imposer partout une idéologie en déconnection complète avec la science et la biologie.

Hélas, les pouvoir publics se taisent alors que l’explosion des demandes de mutilations sexuelles des mineurs devrait allumer tous les signaux d’alarmes. En matière de transidentité, les décisions sont prises sans aucune concertation publique. La population est mise devant le fait accompli.

Les psychologues et les psychiatres raisonnables sont muselés ou restent muets de peur d’être harcelés et taxés de réactionnaires, terrifiés qu’une mauvaise réputation nuise à leur carrière. En revanche les médecins qui se font du beurre sur les mutilations sexuelles des jeunes en souffrance psychiatrique sont extrêmement bavards, et trouvent des échos partout. C’est pourquoi les informations sur la transidentité sont systématiquement biaisées.

Résultat, le défenseur des droits et le Ministère de l’Éducation Nationale ont récemment pris fait et cause pour le transactivisme, essentiellement par ignorance. La propagande de l’idéologie du genre se mène désormais directement dans les écoles, encouragées à favoriser la réassignation sexuelle des jeunes « non conformes » aux stéréotypes de genre. Alors même que la Suède, la Finlande, et le Royaume-Uni font marche arrière.

Pour toutes ces raisons il est urgent de défaire les nœuds que cette idéologie sectaire nous met dans le cerveau, prendre du recul et examiner les faits avec objectivité.

C’est pourquoi j’ai entrepris de réaliser ce documentaire : pour disposer d’un travail journalistique complet et synthétique qui permette à chacun de comprendre les tenants et aboutissants de l’épidémie de transidentité qui frappe les pays de l’ouest, d’un point de vue épidémiologique, sociologique, psychologique et économique.

Votre soutien dans ce projet est absolument essentiel.

Compte tenu du déséquilibre phénoménal des forces en présence financer les projets critiques du transactivisme est quasi impossible par des voies ordinaires.

« Mauvais genre – un scandale sanitaire » va permettre de déclencher un débat public sur ce sujet de société. Il s’agit de protéger des gosses en souffrance psychiatrique.

Vous pouvez jouer un rôle essentiel : Alors merci pour votre contribution !

Merci de partager cet appel autour de vous, merci de faire avancer la liberté d’expression et permettre à la raison, à l’examen objectif des faits, de reprendre leurs droits sur l’idéologie.

Un minimum de 15 000 euros est nécessaire pour achever la post-production du deuxième documentaire de 90 minutes.

Le premier film « Une épidémie mondiale »

Le premier film « Une épidémie mondiale » pose la problématique générale, questionne la réalité de cette épidémie et les différents facteurs qui ont concouru à l’explosion des chiffres. Il met en évidence le phénomène des influenceurs trans, la contamination par les pairs, la fragilité spécifique des jeunes autistes/TDAH, des jeunes homosexuels (en particulier des jeunes femmes non conformes aux stéréotypes de genre) et des jeunes avec antécédents psychiatriques vis-à-vis de cette propagande. Ce film déconstruit les arguments des transactivistes et les confronte à la réalité. Il met en évidence que ce qui est présenté comme un mouvement de mode spontané chez les jeunes, de personnes victimisées et brimées, est piloté par de puissantes associations caritatives richement dotées et une stratégie de lobbying redoutablement efficace issue des pays anglo-saxons, qui rayonne dans toute l’Europe de l’ouest.

Le deuxième film « Un scandale sanitaire »

Le deuxième film « Un scandale sanitaire » passe en revue les traitements hormonaux et chirurgicaux des traitements de réassignation sexuelle, et leurs effets secondaires souvent dévastateurs. Le film détaille le modèle économique de ces traitements administrés sans autorisation de mise sur le marché, remboursés intégralement par les systèmes de santé alors même que les transactivistes réclament la décorrélation complète de la transidentité de toute notion de dysphorie ou de pathologie psychiatrique. Ensuite j’identifie les acteurs de la trans industrie, les circuits économiques des philanthropes alliés, au niveau mondial ainsi qu’en France. Avec le concours de deux personnes trans critiques de l’idéologie du genre, j’explique ce qu’est l’autogynéphilie, à distinguer du véritable transsexualisme très rare, et nous en verrons les conséquences : la banalisation des paraphilies qui s’imposent dans l’espace public, jusqu’à l’école primaire, la criminalisation de toute démarche de protection de l’enfance et la levée de toute restriction d’âge pour les traitements de réassignation sexuelle qui sont parfois administrés sans consentement parental, le silenciement des universitaires critiques du genre, la généralisation des bloqueurs de puberté et cette nouvelle « identité » terrifiante défendue par le lobby mondial des professionnels de la réassignation sexuelle : male to eunuque, ou l’eunuquisme. Nous évoquerons également la série de revers enregistrés par la transindustrie en Grande Bretagne.

Avec votre soutien ce deuxième film pourra être diffusé fin décembre ou tout début janvier.

Le troisième film « Vampirisme »

Le troisième film « Vampirisme » : je souhaite réaliser à partir de début 2023 un troisième film de 90 minutes qui expose la problématique du transactivisme sous l’angle du vampirisme autogynéphile des espaces féminins (toilettes, vestiaires, listes paritaires, clubs, compétitions sportives, prisons), des cercles féministes et lesbiens ; et de l’appropriation/destruction systématique des frontières de la protection des mineurs, jusqu’à la censure des mots pour désigner les femmes et la biologie féminine. Il me semble important pour boucler la thématique de disposer d’un documentaire qui renseigne ces attaques concertées ciblées spécifiquement contre les femmes et les lesbiennes, leurs fondements idéologiques, religieux et sectaires, ainsi que les compromissions des intellectuels, médias, partis politiques et personnalités politiques vis-à-vis de ce rouleau compresseur régressif.

Home » Mauvais Genre – Un documentaire tripartite sur l’idéologie du genre

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